En salle informatique, pendant l’étude du mardi soir, nous avons cherché un jeu amusant que l’on pourrait conseiller aux élèves du cycle 3.
D’après nos recheches, il me semble que le meilleur jeu est " MA BIMBO ". C’est un site pour filles : il faut relever les défis ( nourrir, habiller, jouer,rempllir les objectifs de notre personnage...). Vous verrez on s’amuse beaucoup, on gagne des bimbos d’or et des bimbos attitude.
Pour arriver sur le site,vous pouvez cliquer sur http://www.ma-bimbo.com/
A vos claviers !
Notre maîtresse est en stage du 3 mars au 21 mars pour une formation en histoire/géographie et anglais et elle participera à un projet "arts plastiques ".
Monsieur Dallery est notre remplaçant pendant le stage de notre maîtresse. Il est impressionnant mais gentil.
Melia Benyoub
Je m’appelle Randa. J’ai 12 ans et j’ai 5 soeurs, 1 frère et aussi ma mère et mon père. Je travaille à l’école Jean Vilar. A bientôt...
Vous savez que nous devons nous préoccuper de tout ce qui concerne la survie de la planète, l’écologie et le développement durable pour que nos enfants puissent espérer vivre dans un monde plus sain et moins dangereux . Notre école essaie de sensibiliser les gamins à cette démarche d’avenir et d’espoir : pour commencer , nous vous proposons de récupérer vos piles usagées, les stocker et les faire parvenir à un centre de recyclage des déchets. C’est un petit geste mais c’est un début...Merci de votre participation à cette action de prévention .
( avant de nous décider on a beaucoup hésité entre les piles ou les faces..).
Etudes à l’IUFM : concours et formation.
Les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) sont des établissements publics d’enseignement supérieur de l’Éducation nationale française. Ils sont chargés de la formation des enseignants du premier et du second degrés.
Histoire des IUFM :
La Loi Jospin (1989) prévoit la création des instituts universitaires de formation des maîtres. En 1990 et 1991, les IUFM remplacent :
Leur création s’est inscrite dans un mouvement de rapprochement entre enseignants du primaire et les professeurs du secondaire (collège et lycée), désormais tous recrutés après la licence et alignés sur même grille de salaires. C’est ainsi qu’a été créé le corps des professeurs des écoles en remplacement (à terme) de celui des instituteurs.
Les 31 IUFM existants, soit un par académie, étaient originairement sous statut juridique d’établissement public à caractère administratif (EPA), et dirigés par un directeur nommé par le ministre en charge de l’enseignement supérieur et administrés par un conseil présidé par le recteur d’académie.
En application de la loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école de 2005, les IUFM doivent être intégrés au plus tard en 2008 à leur Université de rattachement. Ils ne seront donc plus des établissements indépendants. Les premières intégrations en ce sens ont été prononcées fin 2006.
La "première année d’IUFM", est consacrée à la préparation des étudiants aux différents concours de l’enseignement :
Pendant cette année, les étudiants sont appelés "PE1" (préparant le CRPE), "PLC1" (préparant un CAPES, un CAPET ou une agrégation), "PLP1", "CPE1"...
Lors de la "2e année ", les IUFM assurent la formation professionnelle des lauréats des concours cités ci-dessus pendant leur année de fonctionnaire stagiaire, afin de valider la partie pratique de leur concours.
Lors de cette année, les stagiaires sont appelés PE2 (lauréats du CRPE), PLC2 (lauréats d’un CAPES ou d’une agrégation), PLP2, CPE2...
Pour être titularisés, ces enseignants débutants doivent obtenir une évaluation positive à :
En cas d’échec, ils peuvent être admis à redoubler une année par un jury académique. Dans le cas contraire, ils sont licenciés par le recteur d’académie (leur statut de stagiaires permettant un licenciement pour insuffisance professionnelle).
S’ils sont admis par le jury académique, ils obtiennent leur diplôme professionnel ou leur certificat d’aptitude du recteur d’académie puis sont titularisés par ce dernier (enseignants du second degré) ou par l’inspecteur d’académie, directeur des services de l’Éducation nationale du département dont ils dépendent (enseignants du premier degré).
La formation continue
Les IUFM organisent ensuite la formation continue des personnels enseignants en poste depuis la suppression des MAFPEN en 1998.
Les enseignants peuvent s’inscrire annuellement à des modules paraissant dans le « Plan académique de formation » ou le « Plan départemental de formation ». Une fois obtenue la possibilité de participer aux stages, ceux-ci se déroulent soit sur le temps scolaire (les enseignants sont remplacés par des enseignants titulaires d’un poste de remplacement ou des professeurs stagiaires), ou hors temps scolaire.
Ils peuvent être :
Désormais, les IUFM ne recrutent plus que des enseignants en temps partagé (IUFM et un autre établissement, du primaire ou du secondaire pour des contrats de cinq ans) et des enseignants-chercheurs. Les philosophes assuraient dans les anciennes écoles normales des cours de psycho-pédagogie, qui ont disparu, remplacés par des enseignements de psychologie, de sciences de l’éducation, d’histoire de l’éducation et de philosophie. Il n’existe pas à proprement parler de programme national pour les IUFM, organismes déconcentrés au niveau régional. Toutefois, une « charte de la formation des maîtres » donne les grandes orientations de la formation.
Critiques contre les IUFM :
Malgré le souhait d’établir dans les IUFM une culture commune entre premier et second degrés, la plupart des analyses constatent le maintien de grandes disparités entre professeurs des écoles et professeurs des lycées et collèges.
La pédagogie que proposent les IUFM est l’objet de critiques récurrentes, souvent contradictoires. On leur reproche d’être trop « théoriques », mais aussi de vouloir imposer une pédagogie officielle égalitariste qui aurait pour résultat le nivellement par le bas. On pointe volontiers le faible niveau des étudiants, mais aussi de leurs formateurs. Les réformes successives tendent à placer directement les stagiaires sur le terrain, ou à renforcer le rôle des inspections dans la formation.
Philippe Meirieu constate que « La création des IUFM prend sa source dans une double et contradictoire exigence » (La machine-école). D’une part il s’agissait de s’inspirer des acquis pédagogiques élaborés pour l’essentiel dans l’école primaire. Mais d’autre part, on voulait renforcer les disciplines et « universitariser » la formation des enseignants du primaire. C’est ce mariage de la carpe et du lapin qui explique la convergence de critiques issues de points de vue opposés.
Les discours des responsables des IUFM insistent volontiers sur le terrain, ou encore sur le concret, sans tenir compte des apports des chercheurs (Bernard Lahire, ou encore Bernard Charlot) qui montrent que l’essentiel dans la réussite scolaire, c’est le rapport au savoir, l’ouverture à la pensée symbolique et abstraite.