En salle informatique, pendant l’étude du mardi soir, nous avons cherché un jeu amusant que l’on pourrait conseiller aux élèves du cycle 3.
D’après nos recheches, il me semble que le meilleur jeu est " MA BIMBO ". C’est un site pour filles : il faut relever les défis ( nourrir, habiller, jouer,rempllir les objectifs de notre personnage...). Vous verrez on s’amuse beaucoup, on gagne des bimbos d’or et des bimbos attitude.
Pour arriver sur le site,vous pouvez cliquer sur http://www.ma-bimbo.com/
A vos claviers !
Notre maîtresse est en stage du 3 mars au 21 mars pour une formation en histoire/géographie et anglais et elle participera à un projet "arts plastiques ".
Monsieur Dallery est notre remplaçant pendant le stage de notre maîtresse. Il est impressionnant mais gentil.
Melia Benyoub
Je m’appelle Randa. J’ai 12 ans et j’ai 5 soeurs, 1 frère et aussi ma mère et mon père. Je travaille à l’école Jean Vilar. A bientôt...
Vous savez que nous devons nous préoccuper de tout ce qui concerne la survie de la planète, l’écologie et le développement durable pour que nos enfants puissent espérer vivre dans un monde plus sain et moins dangereux . Notre école essaie de sensibiliser les gamins à cette démarche d’avenir et d’espoir : pour commencer , nous vous proposons de récupérer vos piles usagées, les stocker et les faire parvenir à un centre de recyclage des déchets. C’est un petit geste mais c’est un début...Merci de votre participation à cette action de prévention .
( avant de nous décider on a beaucoup hésité entre les piles ou les faces..).
Qu’est-ce qu’une école élémentaire ?
L’école élémentaire est l’école qui accueille les enfants à partir de six ans, âge auquel commence l’instruction obligatoire en France. Cependant, l’école élémentaire représente pour beaucoup d’entre eux la suite de la maternelle, avec laquelle elle forme l’école dite primaire.
L’École publique est gratuite et laïque. Elle a obligation d’accueillir les enfants habitant dans la zone qui lui est attribuée par la carte scolaire, qu’ils soient de nationalité française ou pas. Elle accueille aussi des enfants dont le handicap a été reconnu par la MDPH situés hors carte scolaire, lorsqu’ils ne trouvent pas de structure d’accueil dans l’école la plus proche, école dite de rattachement (c’est le cas principalement pour les élèves accueillis en CLIS).
(Un secteur privé coexiste avec l’enseignement public.)
Il s’agit d’enseigner aux enfants les savoirs fondamentaux : l’apprentissage de la lecture et de l’écriture sont bien sûr des objectifs prioritaires. Les activités d’éveil (activités artistiques et ludiques) y restent importantes, surtout dans les premières classes.
L’importance des différents enseignements varie progressivement selon les cycles, qui sont eux-mêmes subdivisés en années et qui sont les suivants :
NB : Le cycle II première année est effectué durant la deuxième partie de la Grande Section (GS) de l’école maternelle qui, dans la règlementation de l’Éducation nationale, appartient à la fois au cycle I (avec la petite section et la moyenne section de l’école maternelle) et au cycle II.
L’enseignement est généralement dispensé par un (ou une) professeur des écoles polyvalent (statut remplaçant progressivement celui d’instituteur). Celui-ci est chargé d’organiser l’enseignement des différentes matières en respectant notamment leur répartition horaire moyenne prévue dans les programmes :
Juridiquement, comme les écoles maternelles, les écoles élémentaires ne sont pas des établissements publics autonomes. Elles n’ont pas de budget de fonctionnement comme les établissements publics locaux d’enseignement (EPLE), collèges et lycées. Les personnels enseignants dépendent de l’Éducation nationale. Ainsi le maire n’a aucune autorité sur les enseignants.
Du point de vue hiérarchique, les enseignants français ne dépendent pas du directeur qui est statutairement un enseignant et dont les compétences, orientées spécifiquement vers le fonctionnement de l’école, n’ont pas d’incidence individuelle, notamment au plan pédagogique, même s’il c’est un élément de la chaîne hiérarchique (le courrier est adressé à la hiérarchie sous son couvert). Si les enseignants des écoles ne dépendent pas de ce primus inter pares qu’est le directeur, ils relèvent de l’autorité d’un inspecteur de circonscription (Inspecteur de l’Éducation nationale ou IEN). Mutatis mutandis, l’IEN cumule les responsabilités qui, dans le second degré (collèges et lycées) sont assumées, d’une part, par le chef d’établissement et, d’autre part, par les inspecteurs pédagogiques régionaux.
En revanche, la commune a la responsabilité des bâtiments, et finance les dépenses matérielles. Sauf en Alsace-Moselle (statut local), il existe une caisse des écoles, établissement public autonome dont le président est un élu municipal (loi du 28 mars 1882). Il existe aussi des coopératives d’école. Les directeurs sont souvent, mais pas nécessairement, présidents de la coopérative de l’école à laquelle cotisent parfois les parents - de façon volontaire et sans obligation - et la mairie et qui avec un budget limité permet de financer des projets comme les classes de découvertes. Les coopératives scolaires, dont le fonctionnement est encadré par des règles très strictes, sont supervisées par l’office central de la coopération à l’école.
Mais les coopératives scolaires, par définition, sont des associations indépendantes à vocation éducative. Elles ont interdiction de verser des salaires. En l’absence de statut d’établissement, il a fallu, lors de la création des aide-éducateurs (AE), que la puissance publique imagine une astuce juridique : les AE, relevant du code du travail et non du statut général de la fonction publique, étaient employés par un EPLE collège-employeur et mis à disposition des écoles sous l’autorité du directeur d’école). Le même dispositif a été étendu à d’autres types d’emplois similaires, créés notamment pour favoriser l’insertion des élèves handicapés : assistants d’éducation, emplois vie scolaire, contrats d’avenir...
Le modèle national est basé sur quatre journées et demie travaillées : lundi, mardi, jeudi et vendredi + samedi matin.
En 2007, la semaine de quatre jours touche 24,30 % des élèves, dans 26 % des écoles, notamment dans la quasi-totalité des écoles de 13 départements. Les cours sont transférés du samedi matin au mercredi matin pour 6,5 % des élèves au niveau national .
Le gouvernement souhaite supprimer les cours du samedi en 2008.
Depuis le décret du 06/09/1990, suite à la loi d’orientation de 1989, l’enseignement primaire est organisé en trois cycles pluri-annuels, des objectifs devant être atteints non plus à la fin d’une année scolaire, comme auparavant, mais en fin de cycle.
L’enfant dispose de trois ans pour acquérir l’ensemble des compétences du cycle considéré. Par exemple, un élève entrant en cycle 2 aura trois ans pour acquérir une lecture courante, ainsi qu’une compréhension explicite de textes. Cet apprentissage, réparti sur l’ensemble du cycle, peut être en voie d’acquisition dès la grande section, pour les plus matures ; durant le cours préparatoire pour la plus grande partie des élèves ; pour certains enfants, cet apprentissage n’est parfois possible que durant l’année de CE1.
Niveaux concernés : la GS de maternelle, plus les CP et CE1.
Ce cycle est organisé autour de sept champs disciplinaires :
Niveaux concernés : CE2, CM1 et CM2.
Les matières enseignées dans ce cycle s’inscrivent dans la continuité du cycle 2. Ainsi « vivre ensemble » devient « éducation civique »…
Ces matières sont les suivantes :
Lien externe
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