Restaurant scolaire, école Jean Vilar.

Modalités d’inscription à la Mairie : (et à l’école).

Comme précisé précédemment les enfants ne pourront déjeuner que s’ils ont été pré-inscrits en mairie, et prévus dans les effectifs des écoles la veille de la prise de repas, d’après le calendrier prévisionnel.

L’inscription est faite une fois par an, aux mois de juin, juillet et août, au moyen de formulaires disponibles à la direction de l’éducation, en mairie.

Les formulaires doivent être renseignés en indiquant :

• pour la famille : nom, prénom du ou des titulaire(s) de l’autorité parentale, adresse complète, numéros de téléphone professionnel et personnel ;
• pour les enfants : nom, prénom, école et classe ;
• les jours de fréquentation par période, d’après le calendrier ci-joint.

Les documents suivants sont obligatoires pour la validation de la pré-inscription :

• fiche d’inscription (pdf) ;
• livret de famille ;
• justificatif de domicile et n° d’allocataire CAF ;
• attestation d’assurance responsabilité civile ;
• carte de quotient familial municipal en cours de validité (établie par le CCAS, niveau 1 de l’hôtel de ville).

Modalités d’inscription pour les repas exceptionnels :

Les conditions d’inscription enoncées dans le paragraphe précédent nous informent des modalités d’inscription de l’enfant à la cantine, pour une durée déterminée . Un dossier est constitué, le quotient familial est calculé et l’on dit que le gosse est "inscrit à la cantine".
MAIS  !
Souvent nous sommes confrontés à l’école à des cas exceptionnels où l’enfant doit rester à la cantine mais n’est pas inscrit à la Mairie : la maman doit aller à la Préfecture pour un passeport, le papa a un rendez-vous chez un spécialiste des os, ou autre raison urgente et difficile à résoudre. La famille demande que le gosse soit accepté ce jour-là pour le repas de midi.
A l’école Vilar, nous nous donnons les moyens d’aider les parents et de comprendre la nécessité de cette inscription non prévue. Nous faisons preuve de compréhension et de bonne volonté.
Pas de problème !
MAIS !
D’autres fois (elles sont rares), un enfant arrive le matin, sans mot dans le cahier, sans coup de téléphone de la maman, sans discussion de la famille avec l’enseignant, rien ! Evidemment, le gamin n’y est pas pour grand-chose et nous nous débrouillons pour le repas (il ne nous vient pas à l’idée de le renvoyer chez lui, quand même !). Le lendemain, on voit la famille, on en discute et cela est réglé tranquillement.
MAIS !
Par contre, d’autres fois (encore plus rares) nous constatons que tel garçon ou telle fille tentent le coup de plus en plus et cela nous place dans une situation un peu bancale : notre bonne volonté ne doit pas être confondue avec de la soumission et l’acceptation silencieuse de ces procédés " devant le fait accompli".
Nous demandons donc à ces quelques familles récalcitrantes de procéder avec respect du personnel communal, avec respect des services offerts par la ville et avec respect des règles de vie de l’école qui ne peuvent pas être mises sous le coude par 2% des parents (ce qui signifie qu’avec 98% des autres familles aucun problème ne se pose).
Allez, on va pas se fâcher pour ça !!! Quoique......